j’étais spectateur, en effet. Je n’ai vu aucune personne à bord des deux avions. Ce n’est qu’après le deuxième crash que je me suis retrouvé au lieu de personnes inconnues. Tout ce qui m’intéressait à ce moment là, était de joindre le journal pour donner l’information (je suis journaliste). Le crash du deuxième avion m’a toutefois glacé le sang ; j’ai éprouvé un profond sentiment d’être un miraculé. Je me disais : j’aurais pu être à bord et finir comme tous les voyageurs.
j’étais spectateur, en effet. Je n’ai vu aucune personne à bord des deux avions. Ce n’est qu’après le deuxième crash que je me suis retrouvé au lieu de personnes inconnues. Tout ce qui m’intéressait à ce moment là, était de joindre le journal pour donner l’information (je suis journaliste). Le crash du deuxième avion m’a toutefois glacé le sang ; j’ai éprouvé un profond sentiment d’être un miraculé. Je me disais : j’aurais pu être à bord et finir comme tous les voyageurs.