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Quand tout va mal


Je ne me sens pas bien, et un peu malgré moi mon colocataire m’amène à l’hôpital.

Je suis de mauvaise humeur, et on m’assoit à côté d’un vieux monsieur, allongé dans un lit qui se fait ausculter par trois médecins, là il se retourne vers moi et me pointant du doigt dit : elle est rouge !

Je me retrouve aux toilettes (dans mon rêve je vais à la selle) je me retourne pour m’essuyer et là, stupéfaction, je me retrouve à poser l’une sur l’autre des tartines de pain, exaspérée j’essaye de m’essuyer avec ça, mais c’est peine perdue.

J’étais déjà de mauvaise humeur, ça n’arrange rien, je me dis que ce n’est pas possible, et presque caché j’aperçois du papier toilette, de colère je lance la tartine de pain à toute volée, en même temps je m’aperçois qu’il y a cinq personnes assises sur des chaises devant moi.

Un homme passe et commence à m’interpeller, surement pour avoir jeté le pain, il est avec des amis qui lui disent de se calmer et vaut mieux pour lui car là ma mauvaise humeur a augmenté d’un cran et je suis prête à en découdre avec lui. Mon rêve s’arrêtera là, je me réveille !


En fait, j’ai peur que ce rêve ne vous apprenne pas grand chose.

Vous n’êtes pas bien, votre colocataire vous emmène à l’hôpital, il vous amène à être malade, contre votre gré vous vous sentez mal et l’association est faite avec ce colocataire, cause et introduction du rêve.

A partir de là, quelles sont les émotions vécues : une intrusion permanente dans votre intimité.

En fait, les autres vous font chier ! Au sens figuré, mais au sens propre aussi dans ce rêve. Vous êtes dans une situation pas possible. Quand tout va mal...

Alors comment en sortir ? Le rêve ne dit rien à ce sujet, il présente simplement les pires situations pour que vous trouviez une façon de vous en sortir, mais c’est peine perdue comme vous dites.

La seule chose que je puisse ajouter, c’est de vous souhaiter un bon dimanche, malgré tout, car quand tout va mal, noter qu’une chose au moins va bien, c’est commencer à se donner tort, et s’ouvrir à un positivisme un peu mis de côté.

EN CONCLUSION :

Je ne me sens pas bien et un peu malgré moi mon colocataire m’amène à l’hôpital.




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