J’avais lu cette explication de Georges Romey sur la boue et j’avais retenu ce qui suit que je le rapporte presque intégralement :
La boue : Lieu de rencontre du sec et du l’humide
La poussière qui trouble l’eau, avec laquelle elle se mélange, l’eau qui pénètre la terre, l’éveille et la féconde.
Poser un pied sur un sol spongieux, c’est un engagement sur la voie humide. Celle là le conduira jusqu’au sein des eaux, pour y vivre la reconnaissance des valeurs anima, pour renaître à la sensibilité créatrice.
Et après il y a cette mythologie égyptienne et ce rapprochement avec Horus et Seth, frères ennemis, dieux de l’humide et du sec, du bien et du mal et cette déclinaison des contraires.
La boue du rêve proclame la nécessité vitale de l’interaction entre l’anima, inspiratrice et l’animus, organisateur.
Et cette conclusion est très belle.
Je vois mieux, comment ce rêve a pu définir un peu le registre de la série des rêves qui ont suivi
J’avais lu cette explication de Georges Romey sur la boue et j’avais retenu ce qui suit que je le rapporte presque intégralement :
La boue : Lieu de rencontre du sec et du l’humide
La poussière qui trouble l’eau, avec laquelle elle se mélange, l’eau qui pénètre la terre, l’éveille et la féconde.
Poser un pied sur un sol spongieux, c’est un engagement sur la voie humide. Celle là le conduira jusqu’au sein des eaux, pour y vivre la reconnaissance des valeurs anima, pour renaître à la sensibilité créatrice.
Et après il y a cette mythologie égyptienne et ce rapprochement avec Horus et Seth, frères ennemis, dieux de l’humide et du sec, du bien et du mal et cette déclinaison des contraires.
La boue du rêve proclame la nécessité vitale de l’interaction entre l’anima, inspiratrice et l’animus, organisateur.
Et cette conclusion est très belle.
Je vois mieux, comment ce rêve a pu définir un peu le registre de la série des rêves qui ont suivi