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Génocide noirs américains


Bonjour à toi lecteur, je pense que si tu es sur ce site c’est que tu vois dans tes rêves quelque chose qui cloche ou qui n’est pas correct. C’est en tout cas la raison pour laquelle je suis là.

Pour chacun de mes rêves, je t’introduis dans le contexte pour mieux comprendre et peut-être pourrais-tu m’aider à voir autre chose ? Alors je débute : personne sur Terre ne peut ignorer ce qui se passe aux États-Unis. Je dis bien personne, car entre les Secrets jusqu’aux faits réels, ce pays basé sur un génocide et des lois farfelues a tellement d’influence et de pouvoir sur nous tous qu’il est impossible de les contourner. On va parler d’un point négatif qui persiste en ce moment. La traite des Noirs aux États-Unis par la police et les injustices qu’ils subissent. Je me suis informé au plus vite de ce qui se passait. J’ai bien sûr trouvé ça triste et vraiment révoltant car les Noirs ont beaucoup fait pour beaucoup trop de Nations pour beaucoup trop peu de reconnaissance si ce n’est que des monuments de taille moyenne et une histoire erronée sur eux et leurs ancêtres. Je crois avoir fait ce rêve il y a plus quelques mois.

J’étais noir, j’étais là debout devant des scènes affreuses. Un véritable génocide sous mes yeux, moi je le percevais comme une émeute. ça se déroulait dans un centre-ville, il était totalement dévasté : le feu surgissait de partout. Les voitures ainsi que les bâtiments étaient en miettes ou plus au moins. On entendait des cris, des pleurs, des tirs, des explosions vraiment tout, tous les bruits qu’on peut croiser dans une guerre. Les blancs étaient révoltés et avaient perdu la tête ils tiraient et s’assuraient qu’aucun individu au teint sombre ait survécu. Et pourtant j’étais noir moi aussi, mais rien n’atteignait mon corps. C’est comme si personne vous regardait, comme si j’étais déjà mort mais j’étais bel et bien là.

Et donc je prends la fuite comme toutes les personnes ici présentes. Je fonce donc au pas de course dans un grand bâtiment qui avait l’air de tenir debout et il se trouve que l’intérieur était encore intact. J’y pénètre et je me dirige vers les endroits éclairés. Et quand j’y fus, j’étais en face d’un magasin de vêtements encore bien conservé, il y avait des caissières blanches, assises qui faisaient les comptes à la caisse. Je m’avance vers elle sans un mot et aucune des deux semblent réagir à ma présence ce qui était plutôt positif pour moi vu la situation périlleuse que je courrais. Soudain une alarme assourdissante retentit et la sécurité du magasin s’enclenche c’est-à-dire que il y avait ces stores en métal qui se sont abaissés pour empêcher la fuite. C’est alors que je me tourne vers les caissières et leur implore de l’aide en me cachant chez elles. Et encore elles restent indifférentes à ma présence en me répondant que "Si tu te fais attraper negro on pourra rien pour toi." Je saute par dessus le comptoir et je me cache sous le poste de l’une des caissières qui n’avaient pas quitter leurs occupations. L’alarme s’arrête.

On entend des bruits de lourdes semelles qui s’approchent. Le store était alors entre-ouvert et on voit débarquer 3 officiers blancs, chauves et assez ronds. Ils se positionnent tous les 3 au centre du magasin et l’un d’eux annonce : "Ça sent le négro ici, vous en cacheriez pas un ici par hasard ?" Et l’une des caissières lui répond, sans même lever la tête de son occupation : "Je ne vois pas pourquoi on s’occuperait d’une telle affaire." Tout à coup les 3 officiers en même temps se mettent à ravager le magasin pour retrouver "ma trace" ou celle d’un autre noir. Celui qui les avaient questionner, se pavane en sifflotant derrière le comptoir, donc derrière les caisses et il annonce tout en se baissant sous chaque poste :"Ils sont vraiment malins ces negros, ils sont si sombres que même si ils se cacheraient sous vos jambes on ne les verraient même pas." Et quand il prononçait ces paroles, j’avais l’impression qu’il me voyait et qu’il s’adressait à moi. Je n’ai pas osé soulever mes paupières pour le regarder. Et il ne pouvait réellement pas me voir puisque ce qu’il venait de dire, venait de se produire sous ses yeux. C’est-à-dire que lorsqu’il prononçait ces paroles tout en regardant sous les caisses, il ne me voyait pas car j’étais trop sombre pour lui. Et étant donné que mes yeux était fermé on ne voyait aucune lueur de vie. Ça m’a plutôt rendu service.

Puis ils ont quitté les lieux sans même leur demander de se lever ou de les fouiller elles. Je ressors de ma cachette, je me place face à elles et je penche mon buste vers l’avant en signe de reconnaissance et je leur adresse un grand merci. C’est alors qu’elles relèvent enfin la tête pour me regarder, elles me sourient et me répondent : "De rien, c’est normal. Bonne chance pour la suite." Car oui, je ne pouvais pas leur attirer plus d’ennuis et rester éternellement là-bas. Je ressors par l’arrière du centre commercial et je vois le même spectacle. Il y avait des drapeaux américains qui longeaient le sol, ils étaient brûlés et troués. De nouveau j’entendais tous les "cris de guerre", le feu prenait plus d’ampleur et autour de soi on ne voyait que du rouge dû à sa couleur, celle des fumigènes et du sang répandu.

Ne voulant plus avoir à faire avec ces décors, j’aperçois de l’autre côté de la route où je me trouvais un escalier qui semblait descendre dans les souterrains. J’y cours à toutes jambes à travers les balles et tous les projectiles possibles. Je loupe une marche et je commence à rouler dans les dernières. Et ma chute a été amortie par quelque chose, la lumière grésillait et s’allumait une fois sur deux. Je me relève avec la sensation d’être mouillé, et lorsque la lumière illumine ce long couloir je pouvais apercevoir sur une distance incalculable, les cadavres de femme, d’enfants et d’hommes noirs étalés et entassés les uns au dessus des autres. Des bruits de pas familiers se font à nouveau entendre, par peur je me glisse alors sous le tas des morts. C’était des autres agents qui venaient simplement déposer d’autres cadavres. Ils repartent "à la chasse" en courant. Puis je m’évade aussi en courant de mon côté. Puis je me suis réveillé.


"La tour" : c’est le titre que vous aviez donné à ce rêve, or je ne le comprends pas. Pourquoi la tour ? Pourriez-vous nous éclairer sur ce point ?

En effet, la tour est un symbole qui prend un sens très particulier lorsque l’on lit votre rêve.

Maintenant, si l’on veut le regarder comme un témoignage de la cause des noirs américains, on lit ce rêve avec une autre distance. Il reste alors à conserver, comme une mémoire d’un présent auquel il faut s’intéresser, c’est bien le sens de votre introduction ?

EN CONCLUSION :

Oui, d’accord il y a eu des passages qui ressemblaient à la Shoah et à ce que l’une des victimes du bataclan a vécu dans la salle de concert, mais que voulez-vous que j’y fasse ? C’était pas qu’un rêve, ça c’est sûr mais je ne souhaite en aucun cas que cela se produise. Sachez juste que rien de ce qui est dit n’a été déformé ou inventé, entre mon rêve en lui-même, ce qui se passe maintenant et ce qui compte se passer.




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