"Musique, maestro."
Un rêve fait en deux parties avec un réveil les séparant, changement de décor total donc.
Premier rêve :
Il fait nuit noire.et sur une pente je vois s’étendre devant moi un grand hangar cloisonné depuis son milieu en deux parties, celle de droite affiche une pancarte "sociologie" en rouge. Je fais demi tour sur mon scooter, 15km de volte face plus loin j’atteints une ville, "Berven" et me demande alors si je continue ou non jusqu’à ma ville natale.
Non, je refait encore une fois demi tour pour 15 km et retourne à ce hangar.
Arrivé là il s’ouvre et je traverse ce côté "sociologie" où il fait sombre à pied, des voitures sont garées là sur ma gauche. Le hangar passé et traversé j’arrive à un endroit, je ne saurais pas le décrire : je sais juste qu’à gauche il y a un casier avec des vêtements que j’ai ouvert et à droite plus loin plus en bas encore se trouve un employé en bleu de travail noir de l’entreprise du paternel. Il se trouve là debout, je m’en approche et il baîlle, il me dit qu’il va se mettre au boulot dans pas longtemps mais plus tard puis me montre son portable qui affiche une image venant d’une vidéo du groupe Indochine mise en ligne sur youtube.
Interprétation :
Quel gâchis d’essence... Quelle hésitation ! Une hésitation qui s’en suit jusqu’à Berven, "vers bain" ?
Le social en rouge, après l’introversion au rêve du mandala pour retrouver le bien-être mental ; après deux (féminin+masculin) lignes en pointillés et en rouge qui converge au centre de l’ovale : Ça c’est passé, traversé et ça a lien à la voiture.
Suite à ça, l’ennui ; sans travail réel, c’est à moi de le mener.
Mais le portable, ce lien semble montrer une image, une vidéo. A relier à un appel à la vigilance ou au 3ème sexe, càd l’androgyne.
Deuxième rêve :
Je traverse un couloir avec le 9ème Docteur de Dr Who et une fille, il fait jour dehors, l’endroit est bien éclairé. On a une mission à mener. Dès l’entrée de ce couloir sur la gauche un petit espace semblerait s’ouvrir si du bois bleu en contreplaqué ne bloquait pas la route. On se demande si l’endroit est sûr, le Dr regarde alors dans ses objets (un inventaire qui vient du jeu de pokémon go cette fois) et y prends un "masque de fantôme", bleu lui aussi, qu’il jette dans le petit espace. Pas de mouvement, pas de réaction dans ce petit recoin, on se dit que l’endroit est sûr et on casse ce contreplaqué bleu qui y bloquait l’accès.
Le décor change alors, je suis toujours avec eux et on est dans l’entrée d’une salle où deux blondes se trouvent. L’une est assise et derrière l’autre la dépasse, je crois qu’elles sont toutes les deux dans une poussette. Une d’elle ressemble à Narcisse des films Harry Potter et je sais que le Dr l’a déjà rencontrée. Je renverse alors violemment la poussette et saute dessus à pied joint alors que ces femmes sont sensées être toujours dedans.
Ensuite, je pars à la recherche de ma guitare. Je suis d’abord dans une salle face à deux filles qui sont assises sur des chaises et dont celle de gauche a à ses pied une guitare dans sa housse (je sais que le rêve insiste sur ce mot [housse] ). Je lui demande si ce n’est pas la mienne mais en reardant plus attentivement à l’intérieur de cette housse il apparaît que cette guitare a un manche trop petit et une caisse trop grande pour être la mienne.
Je continue dans ce bâtiment pour marcher et monter un escalier en spirale qui tourne dans le sens anti-horaire et est sensé atteindre le premier étage. Mais en le montant jusqu’où il menait et après avoir bien regardé, non il ne permet l’atteinte de ce premier étage. Mince je pensais que ma guitare y serait.
Toujours à la recherche de mon hobby préféré je traverse une sorte d’amphithéâtre où sur scène jouent un pianiste et un batteur (lui est habillé de jaune et de noir). Un ami homosexuel est assis face à eux et les regardent, les écoutent. Je vois ma housse de guitare derrière lui dans son dos. Fin du rêve.
"Et que dit le rêve ?" :
On vient sûrement de résoudre une angoisse diffuse grâce à la persona (fantôme+ masque), comme pour débloquer un lieu où se reposer dans le couloir où il faut avancer. J’imagine qu’on parle toujours de la même peur que le trauma dont je parlais dans "S’authentifier pour la vie" (la scène du "cul nu").
Puis vient l’image de la poussette sur laquelle je saute, quel mauvais père je ferais.
Mais pire ! Je m’en vais à la recherche de ma guitare, or si elle est façon de faire la cour il y a peut-être hésitation : La spirale comme l’ADN ici, la procréation et le patrimoine génétique qui ne va pas au bout des choses. La guitare est dans l’angle mort de cet ami homosexuel, s’il y a à intégrer c’est donc de faire la cour aux dames ? Après un féminin à retrouver, un test de la solidité du masculin à réaliser, là il faut faire la cour à une autre fille ?!
En tout cas il y a la façon de battre en rythme qui a lien à l’éclipse du père et s’ajoute à l’harmonie de la mélodie du piano. Monter sur scène ainsi pour s’ajouter à ces deux personnes ça demanderait de savoir improviser un minimum.
Un appel à garder le rythme et à le battre en jaune et noir, à retrouver la guitare dans l’angle mort de l’homosexualité, l’harmonie étant déjà donnée par le piano. L’investigation est continuée en parallèle, alors que l’appel à retrouver sa guitare peut être un appel à faire la cour. A improviser pour trouver l’harmonie ?
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