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Une sorte d’école-collège-lycée où tous les élèves vivent enfermés


Ce rêve débute dans une chambre sans décoration : un lit simple contre le mur face à la porte, une petite armoire à côté de celle-ci avec un bureau sur le mur de gauche à côté d’un vitrine où l’on peut voir des cahiers et livres. Je suis sur le pas de la porte mais tout me dit que cette chambre est la mienne pourtant rien n’y ressemble, j’ai l’impression qu’aucun objet n’est à sa place est une voix qui passe dans le couloir derrière moi me demande pourquoi tout est en désordre.
Je m’avance jusqu’au bureau où un mot est déposé est signe d’une fille qui s’appelle Roxane, celle-ci à écrit qu’elle voulait m’embêter en mettant le désordre et qu’elle m’avait par ailleurs volé quelques livres de la bibliothèque. Je suis toujours en train de lire le mot lorsqu’un homme, sûrement en charge de l’internat, entre et me demande ce qu’il me manque. Je lui dis juste que c’est Roxane est lui tend le mot. Il ne prend pas le temps de le lire et une dame le rejoint. Celle-ci semble savoir quels livres elle a prit alors que je n’arrive même pas à lire les livres qu’il reste dans la bibliothèque. La femme m’appelle ensuite depuis le couloir pour que je la rejoigne et on arrive dans la deuxième partie du rêve.

Celle-ci se passe toujours sur une partie de l’internat qui est plus proche des salles de classes. La femme me dit que je dois surveiller ce couloir et aider les personnes qui vivent dans les deux chambres qui s’y trouvent. Elle ajoute qu’ils ont un problème d’organisation et qu’ils doivent chercher une solution entre adultes pour ses deux chambres. Un homme la prévient qu’ils ont trouvés Roxane et elle part. J’approche de la chambre la plus proche où la porte est ouverte. Celle-ci contient plusieurs lit simple et un bureau sur tout le mur droit. Les valises de ce qui vivent ici trainent au bout de leur lit et il y a des vêtements et des cahiers partout dans la pièce. Les filles et les garçons de tout âges sont rassemblés ici. Une fille qui semble être en primaire tente de trouver ses cahiers et est aidée par un garçon qui semble être au lycée, une fille elle aussi au lycée vient m’expliquer leur problème. Apparemment ils ont du mal à trouver de la place pour leur cours et ne savent pas où les ranger. Face à la porte de la chambre dans le couloir il y a de petits casiers et je leur propose de les mettre dedans. La lycéenne pense que se serait bien mais les plus jeunes ne se souviendraient jamais de leur casier et qu’il fallait pouvoir les différencier. Je lui demande de faire de la place sur le bureau et de mettre les affaires de chacun classait sur celui-ci en attendant de trouver un moyen pour différencier les casiers.
Après un cours moment où tout les enfants de la chambre court partout à la recherche de leurs affaires on décide de décorer chaque casier au goût de celui qui l’aura. On commence donc, avec la lycéenne, à appeler les membres de la chambre et à leur dessiner ce qu’il souhaite pour le coller ensuite sur leur porte de casier. Puisque nous avons toutes les deux parlaient avec quatre enfants chacun et qu’elle dort aussi dans cette chambre ils doivent sûrement être neuf ici, je me demande alors pourquoi, alors qu’il sont autant ici, je vis dans une chambre seule ?
La petite fille du début veut à tout prix un personnage de Pokémon sur son casier et principalement un Carapuce. A la fin de ce dessin nous l’accrochons ensemble sur le casier et la femme de tout à l’heure réapparaît. Elle apprécie le concept des casiers puis s’éloigne pour crier que les cours commencent. On passe alors à la troisième partie du rêve qui ne ressemble plus du tout à la deuxième.

Je rejoins une classe dans les couloirs un carnet à la main, je ne connais pas l’endroit ni les personnes présentes dans cette classe, les élèves viennent me demander mon nom et je comprends que je dois être nouvelle pour eux. Au moment où le professeur nous appelle à entrer en classe je me rends compte que je n’ai pas mon sac de cours et que je n’ai pas non plus de chaussures. Puisque je sors de ma chambre c’est normal que je ne porte pas de chaussure mais je suis quand même à l’école et il faut que j’en trouve.
Je sors donc du rang de la classe et cours à un étage inférieur puisque l’internat se trouve en haut et que les casiers de cours sont en bas. Je trouve rapidement un casier et suis persuadée que c’est le mien seulement, je ne trouve plus la combinaison pour l’ouvrir. Habituellement je serais restée devant le casier jusqu’à la trouver mais j’ai cours et je suis déjà en retard. Je marche donc rapidement à travers les couloirs et arrive dans une sorte d grand réfectoire, d’un côté des gens font la queue pour avoir un plateau et de l’autre tout le monde mange installés à des tables.
Je longe la cafétéria sans jamais y entré puisque celle-ci est entourée de baie vitrée. Je m’arrête face à la table d’un lycéen qui me fait signe avec un sourire. Il semble cependant se doutait qu’il y a un problème et sors de la cafétéria pour savoir ce qu’il se passe. Je lui parle donc de ce problème de chaussure et il me donne une chaîne qu’il portait à son cou sur laquelle se trouve un long médaillon. Je le remercie et repars aussi rapidement pensant toujours que je vais être très en retard en cours et l’idée de rater entière devient plus que raisonnable lorsque je tombe sur une horloge qui montre que j’ai loupé déjà une demi-heure de cours.
J’arrive face à une grange double-porte grise et l’ouvre avec difficulté. Une fois cela passé le couloir ne ressemble plus à celui de l’école. Le couloir prend l’aspect d’une usine avec toutes ses machines grises qui crachent de la fumée et des lumières rouges allumées un peu partout sur les murs et parois du couloirs. Je dois tourner plusieurs fois pour tomber sur un groupe de gens de mon âge qui crie sur deux hommes qui ressemblent à des gardes. Les adolescents veulent sortir mais ont leur refuse. Je pars vers le garde qui me semble le plus important et lui dit que je dois aller chercher mon sac de cours et mes chaussures avant que mon premier cours de la journée ne soit finie. Il refuse de me laisser sortir et je suis tentée de faire demi-tour pour trouver un autre moyen de partir.
Cependant le médaillon que j’ai récupéré auprès du garçon de tout à l’heure requiert un peu plus d’attention, celui-ci est en fait une clé en fer gris clair où l’on peut apercevoir une tête de lion et je me retourne une seconde fois vers le garde en lui montrant la chaîne, il semble étonné et crie l’ordre de m’ouvrir le portail pour sortir. Celui-ci est gigantesque et ressemble à la clé, une tête de lion est gravé sur le portail dans le même fer gris que celui sur la clé. Je passe le portail sous la moquerie des autres adolescents dû à mon manque de chaussures, je ne les écoute pas et sors.
Je me retrouve dans du sable rouge en chaussette et de petits cailloux me font mal lorsque je marche. J’observe ensuite le bâtiment dans lequel j’étais quelques minutes plus tôt et celui-ci semble gigantesque, je comprends alors comment tous les élèves vivent dedans. Le portail à laissé place à une clôture dans le même fer gris et j’observe le bâtiment derrière les barreaux. Le rêve s’arrête ainsi.

Pourquoi alors que les élèves pensaient que j’étais nouvelle je connaissais les lieux et même le garçon qui m’avait donné la chaîne ? Pourquoi cherchais-je des chaussures alors que je n’avais jamais oublié d’enfiler celle-ci avant d’aller en cours ? Comment est-ce possible que je ne me sois pas rendue compte avant la fin que tout cela n’était qu’un rêve ?


Vous ne dites pas si vous suivez votre scolarité dans un internat, c’est essentiel.

Ce que je comprends dans ce rêve, c’est l’opposition entre :
 l’organisation : suite au désordre créée par une autre (votre ombre ?), vous finissez experte en rangement et en casiers :
 le désordre : plus de chaussures, de sac...

Ce qui permet l’ordre de vous ouvrir les portes, ce n’est pas votre organisation matérielle (avoir des chaussures, ses affaires, être en classe à l’heure...) mais la clé donnée par le garçon de votre âge. Ca ça me parle, parce que ça rejoint la théorie de Jung relative à l’animus (voir le dossier "Bases"). Comme si votre masculin intérieur vous disait que ce n’est pas dans la maîtrise extérieure de votre vie que vous trouverait un équilibre, une situation stable et paisible, mais dans la rencontre avec votre propre masculin.

Ce rêve vous donne la clé qui doit vous permettre de ne plus vivre enfermée.

Oui, pour cette raison, je classerais moi aussi ce rêve parmi les rêves d’individuation.

EN CONCLUSION :

(Je ne savais pas trop quelle rubrique choisir pour ce rêve)
Tout ce rêve se déroule dans une école où tous les élèves vivent les uns avec les autres dans l’école, une sorte de pensionnat obligatoire à tous. Le rêve se déroule en 3 parties.




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