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Un orphelinat rempli de meurtrier


Le rêve commence dans une fin d’après-midi. Il y a beaucoup d’adulte dans ce qui semble être un couloir et une porte ouverte se trouve au milieu du couloir. Les adultes passent lentement devant la porte et certains s’y arrêtent, la porte donne sur une pièce remplie d’enfants habillés de vêtements blanc et gris. Une femme un peu plus loin dans le couloir tient une petite fille dans ses bras. Cette femme semble fatiguée et a peur de la pièce où il y a les enfants. Peut-être est elle fatiguée à cause du fait qu’elle porte sa fille qui semble déjà grande et doit avoir huit ans.

Alors que j’étais devant la porte qui menait à la pièce je décide d’aller voir cette femme. Elle ne m’accorde pas un regard contrairement à sa fille qui se décide à aller par terre et se mettre à côté de sa mère. Après ce qui me parait être un long moment elle décide de tirer sa mère par le bras pour la conduire jusqu’à la pièce et me fixe toujours autant. Je les suis jusqu’à la pièce ou la mère reprend sa fille dans ses bras pour l’emmener au milieu de la salle aux enfants et de la posée là avant de revenir sur ses pas et de disparaître dans le couloir sans sa fille. Alors que je cherchais après sa mère un adulte me bouscula et je tombais dans la pièce aux enfants puis tout disparut.

Nous sommes maintenant à un autre jour, sûrement le lendemain. Je me réveille dans la pièce où j’étais tombée qui est dorénavant vide. Le couloir où se trouvait les adultes l’est lui aussi mais cette fois-ci il y a plus de porte. Je décide donc d’en ouvrir une et tombe sur une pièce plus grande mais encore une fois sans meuble où des enfants de tout âge toujours habillés en gris et blanc sont assis en cercle. La porte que j’avais ouverte claque contre le mur quelques temps après et tous les enfants relèvent soudainement la tête vers celle-ci.

Lorsqu’ils me voient ils se relèvent tous et je me rends compte que malgré l’absence d’adultes ce sont les plus âgés du groupe qui s’occupent des petits, il y a peu de fille parmi ce cercle de sept personnes, deux filles d’environ 5 et 10 pour trois garçons plus grand, un de leur âge et un autre plus petit qui tient une peluche. Le plus grand fait un signe aux plus jeunes de fermer les yeux avant de ne dire aux autres de ne m’attraper.

La fille de dix ans et les deux garçons restant se mettent alors à courir dans ma direction alors que le plus grand n’a pas bougé. Je ne cherche pas à savoir pourquoi ils veulent m’attraper et me mets à courir. Je ne connais pas toute les portes mais me retrouve vite dans une pièce très grande avec en son milieu un fauteuil. Des filles de tout âge s’y amusent alors que des garçons discutent assis par terre. Lorsque mes quatre poursuivants arrivent dans la pièce je me remets à courir et deux garçons et une fille se joignent à eux. Je cours vers une autre porte du séjour et arrive dans un couloir plus petit avec deux choix de porte. Je prends celle la plus à ma gauche et tombe sur la petite fille que sa mère a laissé là la veille. Elle porte un objet qui à la même forme qu’un pistolet mais en plus arrondi, celui-ci est d’une couleur blanche et elle cris quelques chose avant de tirer et je crois que je meurs à ce moment là mais le rêve continu.

Je me réveille de nouveau dans la pièce de départ mais fais le choix passer directement par le séjour, je ne m’y attarde pas malgré que les enfants s’y trouvant me dévisagent et repars vers le petit couloir pour essayer cette fois-ci la porte de droite. J’arrive dehors près d’une voiture abandonnée et un garçon habillé cette fois en noir cris comme la petite fille qui avait l’arme. Je sais que la course va recommencer et lorsque je m’approche de la porte de la maison par laquelle je suis sortis, je vois la fille avec son arme pointée dans ma direction. Les autres poursuivants toujours les mêmes arrivent au moment où celle-ci comptait tirer et ils se mettent tous à courir alors je fais de même.

Nous sommes dans un jardin très grands sans aucune végétation hormis l’herbe dans laquelle nous courons. Le jardin est clôturé par une première barrière en bois et une deuxième plus grande en acier. J’enjambe la deuxième et dois prendre de l’élan pour passer la deuxième pour me retrouver dans une forêt, les enfants de l’orphelinat ne vont pas tarder il faut que je me cache car je ne pourrais pas toujours courir malgré que je ne ressente aucune fatigue.

Je décide de faire quelque pas dans la forêt et deux nouveaux chemins s’offrent à moi. Comme pour les portes de tout à l’heure aller ma gauche avait provoqué ma mort je pars à droite. Il n’y a pas assez de chemin et trop de végétation au sol alors je décide de monter à un arbre qui paraît très grand. La première branche et très haute alors je passe par un arbre plus petit avant de sauter de celui-ci pour atteindre le premier. Je monte ensuite le plus rapidement que je le peux et j’aperçois les derniers enfants passaient la première barrière aidé par le plus grand d’entre eux. Je suis déjà haut mais mes poursuivants grimpent déjà à cet arbre. Je pourrais prendre mon élan pour attraper la branche d’un autre arbre bien plus grand et difficile d’accès pour eux mais cette idée et bien vite effacer par une autre. Je sais que je vais de nouveau mourir alors à quoi bon lutter.

Cependant seule la petite fille est armé et les autres non. Sans doute cela sera-t-il plus douloureux de mourir par leurs soins alors je cherche une autre idée quand soudain un objet blanc se dessine sur une branche inférieure de l’arbre face à moi. Cela ressemble à une télécommande pour les consoles. Peut-être suis-je dans un jeu à réalité virtuelle. Lorsqu’un des premiers poursuivants arrivent à m’attraper la cheville je m’en débarrasse hâtivement avant de prendre ce que je peux d’élan et de sauter vers cette télécommande. Je l’attrape mais chute de l’arbre et sens les quelques branches ralentir ma chute en marquant mon dos de leur passage. J’ai mal mais je continue de fixer cette télécommande pour trouver une issue de sortie. J’atteris au sol face à la petite fille à l’arme blanche et appuie sur le bouton "home" de la télécommande et tout s’arrête comme dans un jeu. C’est ainsi que s’achève ce rêve.


Vous posez la question de la douleur ressentie durant cette chute, ou elle peut correspondre à une douleur réelle transposée dans le rêve, c’est un cas déjà observée, mais elle peut aussi avoir été créée par les images du rêve, le cerveau ne distinguant pas ce qui relève d’un rêve, de la réalité, ou d’un jeu de console.
Après la pension, l’orphelinat ! Ici, l’ambiance est celle de la BD Seuls si vous connaissez. Effectivement les scènes du rêve se répètent comme dans un jeu, vous permettant de recommencer là où vous avez perdu auparavant, avec des choix de direction à faire, des solutions pour échapper aux méchants...

Dans ce cas, rien à interpréter, simplement noter ce fonctionnement de jeu vidéo, le plaisir de jouer à se faire peur jusque dans ses rêves.

Mais tout de même, pourquoi chaque fois ces univers de rivalité entre adolescents ? Cela donnerait envie d’en savoir davantage sur votre cadre de vie réelle...

EN CONCLUSION :

Alors que je n’ai ressentit aucune douleur à mourir ni de fatigue à courir, le passage des barrières m’avais semblait douloureux comme la chute de l’arbre. En me réveillant après le rêve je n’arrivais plus à bouger mes mains ni à me retourner et ce pendant plusieurs minutes. Est-ce juste une douleur superficiel du au rêve ou est-ce une douleur bien réelle qui s’est superposé au rêve ?




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