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Une cache de marchandises détournées a été...


Je suis à l’armée, pas différente de ce qu’elle était quand j’y étais réellement.
Sauf les toilettes : Ce sont des pièces nombreuses occupant tout un bâtiment, particulièrement sales et puantes car jamais nettoyées. De vieux locaux où je ne peux pas "me soulager" tellement ils sont abjects. Je tente bien parfois de déboucher l’un ou l’autre de ces trous mais c’est si salissant et si bouché par tout et n’importe quoi que je finis toujours par renoncer. Tout y est maculé d’excréments.

Changement de scène, je me retrouve dans un petit terrain vague où je m’apprête à défricher un petit carré de terre de deux mètres de côté. Il me faut monter sur une machine que je devrai actionner en marchant sur un tapis roulant, une tâche aisée dont je ne vais faire qu’une bouchée. Un adjudant est à côté et je suis sur le point de monter sur l’appareil pour commencer ce travail.

Mais je me retrouve alors à tenir dans une main un petit circuit imprimé près de l’adjudant et un autre soldat semble être en train de souder quelque chose à côté. Les fils de son équipement viennent de ce circuit imprimé que je tiens dans les mains et qui chauffe beaucoup. Il chauffe tant que les broches d’une des puces soudées dessus produisent un gros nuage d’une fumée noire très dense. Je me demande si ce truc ne va pas griller. L’adjudant le prend, j’essaye de lui dire que si on disposait d’un compresseur d’air et d’une soufflette je pourrais le dépoussiérer et le refroidir avec le jet d’air mais que ce ne serait qu’une solution provisoire bien qu’efficace. Je n’ai pas le temps de lui indiquer tout ça, on se trouve aussitôt tous à nouveau dans ces toilettes si sales où tout est maculé d’excréments, comme si ça avait toujours été comme ça.
L’adjudant me dit de déboucher un de ces trous qui servent de toilette. Je repère dans une des pièces voisine une ventouse que j’ai laissée là et que j’ai pu garder à peu près propre, je reviens avec et j’essaye de déboucher le trou. Echec, un pantalon de ciré jaune est pris dans la ventouse. Je l’avais oublié sous la ventouse. Je le retire et je recommence, pour sortir du trou une veste de ciré jaune qui peut très bien être celle de ce pantalon que je venais de poser à côté. elle est plus marron que jaune tellement elle est imprégnée de ces excréments où elle a trempé pendant un temps indéfini. Et je continue de déboucher avec ma ventouse.

Et là, ils se passe quelque chose. Le trou est soudainement bien plus grand et devient une entrée du réseau souterrain de toutes ces toilettes, les galeries sont aussi souillées que les pièces au-dessus. Et à notre surprise on trouve un énorme tas de vieilles voitures entassées là. Ces épaves longtemps immergées dans ce mélange infect d’urine et d’excréments qui vient de s’écouler n’ont même pas rouillé. L’adjudant et moi avons la même réaction de surprise, on est là à dire à peu près "Mais c’est quoi ça ? Mais qu’est-ce que c’est que ce b****l ?" Les épaves sont retirées et on se trouve devant une véritable caverne d’Ali Baba. L’intérieur de cette grande galerie et tout ce qu’elle contient sont très propres, la nourriture qui se trouve là pourrait être mangée sans aucun problème.

Je me retrouve alors à faire la navette avec d’autres pour en retirer tout ça. Les autres galeries de cet égout infect on été nettoyées, c’est toujours aussi vieux mais plus propre que ça ne l’a jamais été. Pendant qu’on apprend que ceux qui ont volé et détourné tout ça ont été arrêtés ou sont recherchés je continue mes allées et venues. Je ressors de ce dépôt clandestin avec des chandeliers, des bijoux, des appareils électroménagers, des gâteaux frais et autre plats raffinés et tant d’autres choses diverses. J’emmène ça dans un bâtiment pas loin de celui où se trouvent ces toilettes avec ce réseau de galerie et cette cache. Dans ce bâtiment qui semble être l’ordinaire (la cantine de la caserne) se trouvent deux femmes qui tentent de ranger tout ça comme pour pouvoir rendre plus tard ces marchandises à leurs propriétaires. Elles s’arrêtent pour manger et l’une des deux me propose d’arrêter aussi pour aller manger avec elles. Je leur dis que je peux faire encore un ou deux aller retours. J’y retourne, je reviens avec de l’outillage, j’ai notamment en main un appareil ressemblant à une perceuse et je cherche où le poser. Les deux femmes ont rangé comme elles ont pu mais il y en a déjà tellement dans ce local qu’il est plein à ras bord, et le vidage de la galerie est loin d’être fini. Et le rêve s’arrête là.

EN CONCLUSION :


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